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دسته بندی: دین ویرایش: نویسندگان: Gougenot des Mousseaux سری: ناشر: Plon سال نشر: 1869 تعداد صفحات: 613 زبان: French فرمت فایل : PDF (درصورت درخواست کاربر به PDF، EPUB یا AZW3 تبدیل می شود) حجم فایل: 3 مگابایت
کلمات کلیدی مربوط به کتاب یهود، یهودیت و یهودی سازی مردم مسیحی: جامعه شناسی، تاریخ ایده ها، تاریخ فرهنگ، اقتصاد سیاسی، تاریخ جهان، تاریخ اروپا، جهانی شدن، کنترل اجتماعی، قدرت سیاسی، سیاست، آموزش و پرورش
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توجه داشته باشید کتاب یهود، یهودیت و یهودی سازی مردم مسیحی نسخه زبان اصلی می باشد و کتاب ترجمه شده به فارسی نمی باشد. وبسایت اینترنشنال لایبرری ارائه دهنده کتاب های زبان اصلی می باشد و هیچ گونه کتاب ترجمه شده یا نوشته شده به فارسی را ارائه نمی دهد.
هر کسی که افتخار خواندن این کتاب را به ما بدهد بدون شک مقداری می خواهد و ابتدا جدول را اسکن می کند، و به خوبی انجام خواهد شد، زیرا هر دو عنصر را آشکار می کند ثروت و طرح فصل های ما. از این رو امیدواریم این است که خواننده مایل است با ما در ارتباط باشد صحبتی که ما معتقدیم برای آن ضروری است شروع سریع؛ و از اولین کلمه می گیریم آزادی گفتن به او، با اشاره به یک پرتره از یهودی: هر که هستی، این ارباب توست. هست، بود یا باید باشد!
Quiconque nous fera l'honneur de lire cet ouvrage en voudra sans doute et d'abord parcourir la table, et fera bien, car elle révèle à la fois les éléments, les richesses et le plan de nos chapitres. De là notre espoir est que le lecteur daignera s'engager avec nous dans une causerie que nous croyons indispensable à sa prompte initiation ; et, du premier mot, nous prenons la liberté de lui dire, en lui montrant du doigt un portrait du Juif : Qui que tu sois, voici ton maître ; Il l'est, le fut, ou le doit être !
TABLE DES MATIÈRES. LETTRE DU R. P. VOISIN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Avis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . CAUSERIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . V VII IX PREMIÈRE PARTIE. CHAPITRE PREMIER. LES TRADITIONS. Le Juif est le dernier des hommes. — Au contraire, le Juif est le premier des hommes ! — Temps anciens ; traditions pharisaïques des Rabbins ; elles sont la source du Talmud. — Quelles sont les croyances, et par conséquent quelles sont les moeurs des Juifs ? — Le peuple juif distinct de tout autre peuple. — Le caractère qui le distingue varie dès que se manifeste la décadence de sa loi religieuse. — Cette loi était celle de Moïse. — Elle fut attaquée par l'idolâtrie, dont les doctrines sont celles de la cabale sabéiste primitive (voir à la fin de ce livre), et par les traditions rabbiniques dont se forme le Talmud. — Il y a donc un abîme entre ces traditions talmudiques et la loi de Moïse, que, depuis le Christ, le Juif ne peut appeler sa loi religieuse sans mentir à l'histoire et à sa foi . . . . . . . . . . . 1 à 16 CHAPITRE DEUXIÈME. LE PHARISIEN ANCIEN, PÈRE ET TYPE DU PHARISIEN MODERNE. Ce que sont les Pharisiens. — Dévotions, macérations, hypocrisie, faveur populaire, orgueil, prodige de leur puissance, exemple. — Leur panégyrique dans la bouche du rabbin moderne. — Leur portrait, hideux dans l'Evangile, qui nous dit : Faites ce qu'ils disent, et ne faites point ce qu'ils font ! — Pourquoi ? — Etrange vertu de la chaire de vérité. — Pour le Juif, l'Evangile n'est que légende malsaine, et c'est gloire pour le Pharisien que d'être flétri dans ses pages. — Le fondateur de la loi d'amour et de fraternité, après les prophètes, ce n'est pas Jésus, c'est Hillel, et les Pharisiens sont ses disciples. — Leur portrait par eux-mêmes. — Prodiges de leur aveuglement. — Puisque le Pharisien repousse l'Evangile, laissons de côté les évangélistes, et n'interrogeons à son endroit que l'histoire profane. — Les Juifs seraient-ils de grands misérables ? — On est loin de généraliser une telle affirmation. — Conclusion : le lecteur est en mesure de la tirer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 à 34 CHAPITRE TROISIÈME. PREMIÈRE DIVISION. — LES RABBINS, LE GRAND SANHÉDRIN, LES CONSISTOIRES. Qu'est-ce que le rabbin ? Est-ce un pasteur, un prêtre, ainsi que le dit aujourd'hui le Juif ? — C'est un docteur, le plus souvent pétri d'ignorance, et remplissant quelquefois d'assez singulières fonctions. — Il ne fait rien qu'un laïque ne puisse faire à sa place ! — Les rabbins exercent les professions les plus variées, ils peuvent être bouchers, cordonniers, revendeurs, etc. — Leur éducation. — Eloges que s'entre-donnent les rabbins. — Cruelle sévérité avec laquelle 556 TABLE DES MATIÈRES ils sont jugés par les organes mêmes du judaïsme. — Cependant les Juifs, afin de se donner le semblant d'un culte sérieux, et d'obtenir de l'Etat que ce culte soit salarié, donnent à ces rabbins le titre de prêtres, de pontifes, de pasteurs. — Et ces prêtres juifs sont d'institution profane ; ils doivent leur état de ministres de la religion judaïque à des princes chrétiens. — Phases de l'autorité légale des rabbins en France. — Napoléon Ier les utilise pour ses recrutements militaires et sa police politique. — En un mot, le rabbin n'est qu'un docteur ; et le Talmud nous dit que, depuis la dispersion, il n'y a plus de docteurs en Israël ! — Et pourtant, jadis, le Moïse du judaïsme talmudique décrétait la mort sans jugement contre quiconque niait la tradition des rabbins . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35 à 53 DEUXIÈME DIVISION. La grande assemblée judaïque de 1806, et le grand Sanhédrin de 1807, lequel est un faux Sanhédrin. Concordat judaïque, faussant à la fois la loi de Moïse et le Talmud. — Fausse déclaration de cette assemblée. — Ce qu'était le véritable Sanhédrin. — Un mot de M. de Bonald sur les Juifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54 à 61 TROISIÈME DIVISION. — LES CONSISTOIRES. Organisation artificielle, prélude de la désorganisation radicale. — Fonctions politiques et policières des consistoires et des rabbins. — Napoléon Ier, nouveau Moïse aux yeux des Juifs, et leur ivresse. — Organisation catholique du rabbinat. — Les Juifs légalement constitués en peuple distinct par la loi même qui prétend les fusionner. — Cruelles peintures des consistoires, faites de la main des Juifs. — Cette institution religieuse prépose les laïques, c'est-à-dire les ouailles, à la direction des pontifes ou du prétendu sacerdoce de Juda. — Doléances. — Fruit de ces doléances ; scandales. — « Le sceptre de Juda devenu un gourdin. » — Le gouvernement chrétien de la France devenu le régulateur du culte d'Israël. — Un ministre et un général gouvernant la Synagogue. — Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . 62 à 76 CHAPITRE QUATRIÈME. LE TALMUD. La cause de la haine et du mépris des peuples pour le Juif est dans le Talmud. — Le Talmud est le code religieux du Juif. — Qu'est-ce que ce code ? — Qui n'a la clef du Talmud ne peut déchiffrer le mystère du Judaïsme. — Devant le Talmud, ou la loi orale et traditionnelle, la loi de Moïse s'efface. — Quiconque viole cette loi, cette oeuvre pharisaïque des rabbins, mérite la mort sans jugement. — L'orthodoxie d'Israël ébranlée ; révolte contre le Talmud. — Juifs qui n'ont jamais talmudisé : découverte ; Juif contempteur du Talmud. — Mot de M. Renan. — Le Talmud frappé de réprobation et brûlé par les rois et par les papes, gardiens de la civilisation. — Le Talmud étudié en lui-même et révélé par des bouches judaïques. — Scélératesse, cynisme et turpitude de ce code si cher à Juda. — Ses absurdités. — Il place Dieu au-dessous des rabbins. — Obligés de supprimer les passages qui révoltent les chrétiens, les Juifs les laissent en blanc et les enseignent de bouche. — Déloyauté de ces orthodoxes. — Ils sont « le noyau indestructible de la nation. » — Duel à mort entre les doctrines talmudiques et la civilisation, qui ne sera sauvée que lorsque la conscience du Juif sera reconstruite sur TABLE DES MATIÈRES 557 un autre plan, car le Talmud est l'expression même de la Synagogue ; il contient la doctrine cabalistique « qui est le dogme de la haute magie » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76 à 101 DEUXIÈME PARTIE. CHAPITRE CINQUIÈME. PREMIÈRE DIVISION. — LA MORALE DU TALMUD EN ACTION. Le premier homme et la première femme ; dignité de la race humaine issue de ces deux monstres. — Jugeons l'arbre à ses fruits. — Nous connaissons la morale qui prend sa source dans les dogmes chrétiens ; celle qui sort des traditions talmudiques y a-t-elle quelque rapport ? — Saint Chrysostome, Père de l'Eglise, sur les moeurs du Juif ; peinture prodigieuse. — Même description du célèbre Simon Maiol à l'époque de la Renaissance. — Rien de changé lorsque Delamarre écrit son monumental Traité de la police (1705.) Cessons un instant de juger de la doctrine judaïque par les moeurs du Juif, et jugeons le Talmud par son texte. — Dieu crée Adam, qui se cherche une compagne ; nulle ne lui convenant, il en demande une qui soit semblable à lui. — Eve est digne d'Adam, et nous transmet le venin du serpent. — Le Talmud étant la loi suprême et la croyance de l'orthodoxe, et l'homme réglant ses actes d'après ses croyances, le Talmud fait du Juif ce qu'il est. — Exemple du sentiment paternel dompté en France, et au dix-neuvième siècle, par le Talmud. — Proscription du prévaricateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 102 à 112 DEUXIÈME DIVISION. — MORALE DU TALMUD EN ACTION. LA FEMME CHEZ LE JUIF. La jeune fille dans la maison paternelle à côté de ses frères, en butte aux explications des turpitudes talmudiques ! — Le rabbin et l'élévation de la femme chez le Juif ; belles pensées. — Réplique de l'histoire. — M. Crémieux parle comme l'histoire. — Le Talmud assimile la femme à l'esclave. — Nulle loi, même dans le mariage, ne lui assure le plus simple respect de la part de son mari, pour lequel elle est « de la viande de boucherie... » — Elle doit tolérer la concubine de celui-ci jusque sous le toit conjugal. — Il suffit que cette concubine ne soit pas une infidèle, car alors elle ne serait qu'une brute aux yeux de la loi. — Bizarrerie de pudeur judaïque. — Droit de correction manuelle sur la femme et droit de divorce. — Devant Dieu et dans les réunions religieuses, la femme compte pour néant. — Lui apprendre la loi sainte est aussi coupable que lui apprendre des obscénités. — Portrait de la Juive par un peintre de sang judaïque. — Défauts et qualités. — Proportion des femmes de mauvaise vie bien plus grande chez les Juifs que chez les Chrétiens (aveu judaïque). — Le Juif doit au Talmud de fournir au prolétariat son écume. — Mais la profession du Judaïsme rachète, aux yeux du talmudisant, toute faiblesse de la femme . . . . . . . . . . . . . . . . . 113 à 126 TROISIÈME DIVISION. — LA MORALE DU TALMUD EN ACTION. LE PROCHAIN DU JUIF. Est-il un homme qui soit sans prochain ? — Oui, le Juif orthodoxe. — Hors le Juif, tout autre homme ne doit être à ses yeux qu'une brute. — S'il le tue, il ne tue qu'une bête. — Mots de saint Epiphane, Père de l'Eglise, et de M. Michelet. — Explication de ce mot : Défense aux Juifs et aux cochons d'entrer ici. — Faiblesses et passions du Juif provoquées contre tout étranger à sa foi par ses croyances tal558 TABLE DES MATIÈRES mudiques. — Exemples. — Jusqu'où va cette haine du Juif, et surtout contre le chrétien. — Voler et tuer le chrétien n'est donc pas un mal ; au contraire. — Nombre des malfaiteurs bien plus considérable chez les Juifs que chez les chrétiens. — Différents pays, différents exemples. — Puissance et universalité de leurs moyens de malfaisance. — Leur affreuse et homicide cupidité à l'endroit de l'armée française dans la désastreuse campagne de Russie. — Reconnaissance implicite de l'infériorité morale du Juif, dans des publications judaïques. — Leur malfaisance a été de tous les temps, depuis le règne des traditions rabbiniques ; elle les fait ranger dans « le rebut des peuples » dès le règne de Vespasien. — Conclusion. —Notes. — Leur terreur de l'opinion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 126 à 148 QUATRIÈME DIVISION. — LE KOL NIDRAI. MORALE TALMUDIQUE. Le Kol Nidrai, ou le parjure dans la religion. — Parole sacramentelle ; trois Juifs, les premiers venus, forment un tribunal qui peut délier tout Juif de ses serments et de ses engagements quelconques. — Ce fait nié. — Cette négation détruite. — Les trois ont la même autorité que le tribunal de Moïse, mais ils l'ont contre le droit. — Le Talmud fait-il de l'homme moral un homme à l'envers ? — Nul lien social de promesse ou de contrat ne peut donc engager envers le chrétien le Juif avec qui le chrétien s'engage ? — Une cérémonie religieuse délie chaque année, pour l'avenir et pour le passé, tout Juif formant ou devant former un engagement. — Formule grotesque employée par le Juif qui se relève de ses engagements. — Tours et formules qui, dans l'esprit du Juif, ôtent toute validité à ses promesses et laissent sa conscience en paix. — Ces moeurs talmudiques expliquent la haine des peuples, et les rigueurs du pouvoir social contre ces populations roulantes et antisociales. — Un serment dont les formalités et le texte semblent frapper habituellement le Juif de terreurs superstitieuses est imposé aux Juifs dans la plupart des Etats chrétiens, et subsiste encore dans quelques-uns. — France. — La cour de Colmar (10 février 1809) et ce serment. — Réflexions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 148 à 158 CINQUIÈME DIVISION. — MORALE TALMUDIQUE. L'USURE. Juif et usure, mots associés par une force de cohésion vingt fois séculaire. — Le Juif usurier ? — Paradoxe, car il ne peut l'être ! — Ruse et contradictions. — Les Juifs dévorent la France. — Chassés pour crime d'usure, ils acceptent avec transport la servitude et les conditions les plus dégradantes pour obtenir le droit de rentrée. — En quelques années « la plus grande partie des biens des chrétiens sont dans leur dépendance. » — Les chrétiens deviennent la chose de ceux dont ils ont fait leurs serfs. — La fameuse requête de Pierre de Clugny contre ces excès. — Le Juif, malgré les persécutions dont il se lamente, ne veut d'autre paradis que la terre de ses persécuteurs. — Lettre célèbre et magnifique d'Innocent III dénonçant leurs crimes, et engageant les princes à leur faire rendre gorge. — Ces princes souvent accusés sans justice de cupidité. — Protection des pontifes s'étendant sur le Juif qui sollicite leur justice, et sur ses biens, ainsi que sur le chrétien. — Les Archives de Champagne. — Exemple : les Juifs de Troyes, etc. — Taux de leurs usures. — On trouvait bon, cependant, d'avoir dans les Juifs « une corporation damnée d'avance, qui fît le métier de réprouvé. » — Un concile les condamne à porter une TABLE DES MATIÈRES 559 marque qui les distingue. — Bannissement définitif sous Charles VII, « pour les crimes qu'ils commettent chaque jour. » — Louis XIII renouvelle cet arrêt. — La Lorraine et l'Alsace, qui sont exceptées, sont dévorées par leurs usures. — Edit de Léopold contre eux en Lorraine, en 1728. — Le procureur général du Régent, en France, où beaucoup de Juifs sont revenus, les appelle « les monstres de la société civile. » — Ce que les Juifs font de l'Alsace. — Napoléon Ier et les usuriers juifs. — Les Juifs en Alsace, et M. de Bonald. — Sentence contre les Juifs de M. Michelet, avec cette finale : « De soufflets en soufflets, les voilà au trône du monde. — Effrayante excuse de l'usure. — Elle est, chez le Juif, le fruit de sa croyance religieuse. — M. Toussenel et les Juifs. — Le roi-citoyen Louis- Philippe et les Juifs. — Morale de ce chapitre . . . . . . . . . . 159 à 184 CHAPITRE SIXIÈME. L'ASSASSINAT TALMUDIQUE. Assassinats, ou sacrifices de chrétiens, commandés en certains cas par le Talmud, qui est le renversement du Décalogue. — Ce crime d'idolâtrie magique et d'anthropophagie, signalé dans la Bible, est traditionnel. — Ces crimes disparaissent dans les centres de civilisation ; ils ont été de tout temps et de tous lieux chez les talmudisants. — Le Juif les nie avec son aplomb caractéristique. — Exemples et autorités. — La plus grave magistrature des chrétiens n'est composée, au dire du Juif, que d'ignorants et de bourreaux. — Pièce authentique qui nous montre les Juifs commettant ce crime à ciel ouvert, parce qu'ils s'imaginent avoir une garantie légale. — Les princes sans cesse obligés de sévir contre eux. — Un de ces crimes, commis il y a quatre siècles, semblable dans tous ses détails à celui dont fut victime, en 1840, le Père Thomas. — L'Eglise se prononce sur ces crimes sacrés comme la magistrature séculière. — Les Juifs s'appellent peuple au coeur tendre ! — Récit parallèle au précédent ; assassinat religieux du Père Thomas et de son domestique. — Menus détails, interrogatoires, procès-verbaux, horreurs inexprimables. — Intrigues judaïques contre la justice et contre le consul de France. — Députation et pression des Juifs d'Europe sur le souverain de l'Egypte. — L'or. — La justice arrêtée : son recul après la condamnation des assassins. — Négation du crime par tous les Juifs de la terre, malgré la surabondance et la précision des détails. — Paroles du souverain de l'Egypte et firman. — Silence de la justice obtenu. — Fureur et rancune du Juif contre M. Thiers, parce que ce ministre de Louis-Philippe a osé louer à la tribune la conduite du consul de France contre les assassins. — Ce digne représentant de la France n'est arrêté ni par les millions ni par les menaces. — Les pièces du procès, où nous puisons, déposées au ministère des affaires étrangères. — Ces crimes religieux ont une ressemblance si frappante, malgré les siècles qui les séparent, que la pensée de dates distinctes s'efface devant la nature des faits. — Conclusion. — Note. 184 à 219 CHAPITRE SEPTIÈME. PREMIÈRE DIVISION. — MORALE TALMUDIQUE. ANTIQUITÉS BIBLIQUES. ANTHROPOPHAGIE SACRÉE. Toujours entraîné vers le polythéisme, le Juif, dès les temps les plus anciens, se livre aux pratiques immondes et atroces des Cabalistes 560 TABLE DES MATIÈRES sabéistes, c'est-à-dire des premiers adorateurs des astres. — Ce que sont ces idolâtres. — La Bible énumère leurs crimes, que ni la loi ni les prophètes ne pourront arrêter. — Cette épouvantable idolâtrie s'établit avec son personnel et son mobilier jusque dans le palais des rois, jusque dans le temple. — Ses actes suprêmes sont les sacrifices humains, et l'anthropophagie sacrée, la manducation de la chair humaine. — La Bible nous donne l'histoire et la clef de ces superstitions, que la tradition talmudique transmit aux descendants de ces Juifs prévaricateurs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 219 à 226 DEUXIÈME DIVISION. — DU SANG, ET POURQUOI. Les vrais talmudisants n'immolent les chrétiens qu'afin de recueillir leur sang ; exemples authentiques. — Usages sacrés de ce sang, et qui varient, comme l'erreur, selon les temps et les lieux ; mais nécessité de manger ce sang qui représente l'homme, et qui est appelé sa vie. — Ses vertus, sa valeur inappréciable. — Il guérit, il sanctifie, il sauve. — Développements et preuves. — Dénégations éternelles du Juif. — Aveux de l'un des plus célèbres rabbins en plein exercice de fonctions. — Colère de Revues judaïques contre cette célébrité nationale traitée de faux prêtre. — Légitime indignation des Juifs détalmudisés. — Conclusion . . . . . . . . . . 226 à 242 TROISIÈME PARTIE. CHAPITRE HUITIÈME. PREMIÈRE DIVISION. — LA MARCHE DU JUIF. ORTHODOXIE OCCIDENTALE. Il se crie partout que le Juif est en marche, que ses moeurs changent, quelle plus grande merveille ! — Sa croyance a donc changé ? — C'est là le signe éclatant d'une époque nouvelle. — L'indestructible noyau du judaïsme reste formé des orthodoxes talmudistes ; mais, au-dessous de ceux-ci se rangent le nouvel orthodoxe, les réformistes et le libre penseur judaïque. — Fureurs des nouveaux orthodoxes contre les adversaires du fanatisme et de l'immutabilité talmudiques. — Attaques du fanatisme israélite par l'illustre rabbin Jellinek. — Répliques amères de l'Univers israélite, organe de l'orthodoxie. — Le judaïsme n'est plus une religion, il est une chose morte, etc. — Un grand schisme sépare donc Juda en diverses parties, mais, ô merveille ! sans les désunir au besoin. — Exemple. — Raison et ruse des réformistes ; elle avorte. — Doléances. — Plaies du judaïsme. — Hypocrisie des aînés qui s'entre-déchirent ; elle leur est reprochée par les puînés. — Prosélytisme et changement de rôle entre les deux partis. — Comment l'orthodoxie est-elle jugée par les Juifs de nos contrées ? — Les faits. — L'illustre grand rabbin Klein et M. Isidor. — Ce dernier est élu grand rabbin de France. — Débats curieux et concluants. — La famille israélite dégénère moralement, et tombe dans une décadence complète ; tel est le cri du journal judaïque la Neuzeit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 242 à 254 DEUXIÈME DIVISION. — LES RÉFORMISTES. Que veulent les réformistes ? — Unir le présent au passé ; mais comment ? — Ils rejettent le Talmud, et la Bible ne leur est qu'un livre de mythes. — Une religion (religare) est, surtout pour eux, une chose qui ne doit point lier l'homme. — Sottise d'attribuer à Moïse et à Jésus ce qui appartient à ceux qui les précédèrent ou les suiviTABLE DES MATIÈRES 561 rent, au progrès du temps, à l'humanité. — Peut se dire Israélite quiconque adopte l'unité de Dieu, l'immortalité de Dieu et de l'âme, et interprète toute chose à son sens. — De l'ampleur de cette liberté naîtra la religion universelle, sans troubler aucune conscience. — Trois exemples curieux de cette tolérance pratique. — Le troisième est du docteur Sée, professeur à l'Ecole de médecine de Paris, accusé de matérialisme et d'athéisme. — Le consistoire central, conseil suprême des intérêts religieux et sociaux du judaïsme, n'en croit pas moins devoir l'admettre dans son sein. — Curieuses révélations. — Un grand nombre d'Israélites cherchent à dissimuler leur croyance. — Cette sorte d'hommage qu'ils rendent à leur foi est plus commode que celle du martyre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 254 à 262 TROISIÈME DIVISION. — LE JUIF LIBRE PENSEUR. Passage du Juif réformiste au Juif libre penseur. — Baisers de Lamourette entre les trois filles de la Bible mises face à face par l'Israélite Hippolyte Rodrigue. — Un même temple contiendra tous les cultes fusionnés, sous les bannières de la Raison et de la Philosophie du dix-huitième siècle. — Ce temple est l'Alliance israélite universelle, ouverte au genre humain tout entier, sous la haute direction d'Israël. — Fait accompli ; elle anéantit le fanatisme et fonde la grande fraternité. — Ce qu'est cette alliance. — Paroles de M. Crémieux, son président, l'une des illustrations de la franc-maçonnerie et du judaïsme. — Elle prépare le Messianisme des nouveaux jours ; une « Jérusalem de nouvel ordre substituée à la double cité des Césars et des Papes ; » car « Israël est la grandeur de Dieu. » Elle est le protecteur de tous les cultes, fût-ce « contre les lois encore en vigueur. » — Les peuples tendent la main à Israël, et lui demandent pardon du passé. — Il n'avait plus de centre, mais tout est changé. — Episode. — Exemple frappant et à peine croyable de libéralisme religieux chez les Juifs. — Un grand rabbin défenseur intrépide de la libre pensée. — Récit. — On peut « devenir libre penseur et rester israélite ». — Même foi, mêmes aspirations animant le Juif, le franc-maçon et le libre penseur ou le solidaire. — Quiconque entre dans les sociétés occultes est l'allié du Juif. — Son amour nouveau-né pour la liberté ne méconnaît que le culte catholique. — Mot d'Eckert . . . . . . . . . 262 à 272 CHAPITRE NEUVIÈME. PREMIÈRE DIVISION. — NOUVELLE MORALE, NOUVELLES MOEURS. Qualités sociales du Juif à demi dégagé du Talmud, et jugé d'après les représentants de la presse judaïque. — Observations limitées à ces deux points : véracité, bienveillance envers le chrétien. — La simple destruction de l'orthodoxie talmudique suffit-elle à la régénération sociale du Juif ? — Quels sont aujourd'hui les sentiments des Juifs pour le chrétien ? — Protection que leur accordèrent les empereurs, les Papes et les hautes classes. — Ingratitude universelle. — Cette ingratitude serait-elle encore la même, et quoique le Juif se détalmudise ? — Exemple. — Cri de mort du Juif contre Rome, qui fut de tout temps son plus inviolable asile. — Prétexte et mot d'ordre universel. — L'affaire Mortara. — Un mot sur cette affaire et comparaisons. — Raison de la fureur jouée des Juifs. Leur propre exemple. — Intolérance excessive, mensonges haineux et calomnies contre l'archevêque d'Alger. — La lettre admirable de ce pré- 36 562 TABLE DES MATIÈRES lat, et le Juif. — Faits énormes. — Les textes. — Traces profondes de la croyance dans les actes, après même que la croyance a disparu. — Notes. — Pie IX et la diplomatie européenne militant en faveur du Juif. — M. Mirès aux Israélites ses coreligionnaires. — La Russie et les Juifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 272 à 292 DEUXIÈME DIVISION. — NOUVELLE MORALE, NOUVELLES MOEURS. Suite. — Qualités sociales du Juif. — Reconnaissance. — M. Mirès ; son conseil aux Juifs de ne point toucher à l'or de l'Église, et de lui témoigner quelque gratitude. — Réponse astucieuse, et fureurs. — Reproches amers à propos de l'épouvantable tyrannie qui les martyrise dans les ghettos. — OEuvre ayant pour but de transporter tous les Juifs hors de l'abominable ville de Rome ; résultats. — Qu'est-ce donc que le Ghetto ? — Réfutation du Juif par les descriptions ou la parole de M. Thiers, ancien ministre ; — de M. Sauzet, ancien président de la Chambre des députés ; — de l'anticatholique M. Renan, de l'Institut ; — de M. Bail, patron de la cause juive. — Réfutation du Juif par la déclaration si remarquable de leur plus grande assemblée dans les temps modernes. — Ce que le Juif doit à l'Eglise ; curieux et admirable morceau. — Aisance du Juif, même dégagé des entraves du Talmud, à renier la parole de ses représentants. — Cette parole n'était pour lui qu'une ruse de guerre, il ne doit que haine à l'Eglise et à la papauté. — Actes des Papes et du clergé romain, défenseurs et protecteurs désintéressés du Juif ; ils lui assurent pour son culte une liberté que tant de gouvernements refusent aujourd'hui même au catholique. — Le plus implacable ennemi du Juif nous peindra-t-il mieux qu'il ne le fait luimême de nos jours son horreur pour toute vérité qui le blesse, sa haine héréditaire pour le chrétien ? — Le Juif qui se peint dans ses pages, telles que nous les citons, est-il un homme que la civilisation puisse avouer ? — Exceptions. — Notes. — Le Ghetto d'Avignon. — Les ghettos (tre ghetti) ; celui de Rome. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 292 à 310 TROISIÈME DIVISION. — NOUVELLE MORALE, NOUVELLES MOEURS. Suite. — Tolérance du Juif ; ses prétentions, sa présomption née des défaillances de la foi chrétienne et de la foi talmudique. — Grandeurs de son orgueil lorsqu'il compare ce qu'il est depuis qu'il cesse de croire, à ce que deviennent les peuples chrétiens depuis qu'ils perdent la foi. — Il se tient pour insulté par les libertés du culte chrétien. — Curieux exemples. — Appels aux principes de notre Révolution. — Ses poids et mesures toujours autres pour lui que pour autrui. — Sa manière atroce d'entendre la liberté des cultes. — Sa mission. — Pour lui, la liberté du culte c'est la destruction du culte chrétien. — Loyales protestations de quelques Israélites contre ce fanatisme. — Cri de l'Allemagne contre le despotisme sauvage du Juif. — L'égalité ne lui suffit plus ; il domine, et veut des égards exceptionnels. — Exemple curieux et inouï ! — Autre exemple : Insolence d'Israël contre l'Empereur lui-même, qu'un instant avant il appelait son ange, et pourquoi. — Autre exemple : les chrétiens menacés jusque dans le for de leurs solennités antiques. — Le même droit lui permettrait de demander la clôture des églises, et la suppression du nom chrétien. — Ce qu'est le Juif, et ce qu'il était hier ; progrès immense, mot de M. Crémieux. — Devoir de l'Israélite de tourner contre l'Eglise l'étude même de la théologie, et de la TABLE DES MATIÈRES 563 mettre d'accord avec la philosophie judaïque, qui est celle du dixhuitième siècle. — Homme ou idée, le Messie judaïque est proche, il faut que les peuples tombent à ses pieds. — « Jérusalem ville de l'avenir. » — Le rationaliste Kluber sur le Juif, dans son livre Du droit de la Confédération germanique. — Les théologiens de l'Allemagne sur le Juif. — Résumé du chapitre, et conclusion. . . . . 310 à 333 CHAPITRE DIXIÈME. PREMIÈRE DIVISION. — ACTION DU JUIF SUR LA MARCHE DES CHOSES, ORGANISATION DU JUDAÏSME DANS LE MONDE, SES EFFETS. Le mot du concile ou synode judaïque de 1869. — La constitution naturelle du Judaïsme. — Ce que peut, veut et ose le Juif. — Grâce aux sociétés secrètes formées à son image, et dont il est l'âme, chacun des siens est une maille vivante de l'immense réseau qui enserre le monde. — Rôle des affidés de leur commerce qui embrasse le globe. — Cette organisation née d'elle-même. — Nécessité d'y suppléer plus tard par des associations artificielles. — Société demi-patente, l'Alliance israélite universelle offre aux Juifs un lien qui les unit en tous lieux ; société occulte, la franc-maçonnerie joue parallèlement le même rôle. — Rien n'échappe, dans le monde social, à ce multiple réseau dont les hauts cabalistes du judaïsme sont les maîtres. — Noyau peu nombreux des vrais initiés. — La constitution judaïque de la franc-maçonnerie place en majorité dans ses hauts conseils des Juifs initiés et initiateurs. — Ces sociétés n'ont d'autre but que le triomphe des idées judaïques, qui sont les idées modernes. — Dehors séduisants de ces Sociétés. — Trahisons et indiscrétions qui démasquent le Juif. — Le Juif et les loges. — Loges judaïques ; c'est là que se réunissent tous les fils de tous les événements révolutionnaires qui couvent dans les loges chrétiennes. — Instructions. — Aveux précieux. — Même action judaïco-maçonnique dans le nouveau monde. — Le mystère maçonnique est indispensable à la Synagogue au sein même des républiques les plus libres. — Mot de Kluber. — Antagonisme inévitable entre le judaïsme et les Etats chrétiens. — Le triomphe du Juif sur la civilisation chrétienne est l'inévitable résultat de cette lutte. . . . . 333 à 349 DEUXIÈME DIVISION. — MOYENS D'INFLUENCE, AUXILIAIRES : L'OR. L'or est le maître du monde ; l'or nous possède, et le Juif possède l'or. — Enormité de la puissance que le Juif doit à son or, à son génie pour le faire suer. — Jamais autant que de nos jours l'or ne fut le nerf de la guerre et de la paix, le désiré des familles, l'assaisonnement de tout honneur, le couronnement de toute gloire et de toute noblesse. — Les hommes d'Etat de l'Europe à genoux devant le Juif. — Rien sans l'aveu du Juif ; comment il trône sous les espèces ou apparences de rois chrétiens. — Par l'or, il gouverne les sociétés occultes, qui gouvernent le monde. — Puissance sans limites de la finance dans un monde où toute croyance religieuse s'éteint, conspuée par le Juif et par ses auxiliaires. — Un seul remède à ce mal immense. — Ces faits, cette puissance nous étonnent ; étonnement qu'en éprouve l'un des premiers ministres de la Grande- Bretagne, et son mot qu'il y aurait folie à oublier. — Note finale sur l'un des potentats du Judaïsme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 349 à 357 36. 564 TABLE DES MATIÈRES TROISIÈME DIVISION. — LA PAROLE PUBLIQUE ET ENSEIGNANTE, LA PRESSE. Autre puissance dont le Juif se fait un auxiliaire ; ses représentants honorables, et non. — Services que le Juif avoue lui devoir. — Elle n'a pas encore achevé de judaïser le monde, mais patience ! — Les diverses catégories des hommes de la presse. — Despotisme sans bornes du maître d'un journal. — Dans nombre de journaux, quel est ce despote ? — Mystère ! — Caractères de sa position. — Son mérite est la sûreté de sa main dans le choix de ses intendants ou de ses ouvriers littéraires. — Places où foisonnent ces gens de haute et de basse paye. — Semblable à toute propriété, tout journal change sans cesse de maîtres, de locataires, et par conséquent d'esprit. — Le Juif achète, exploite ou fait exploiter la plupart des feuilles importantes. — Leur influence sur l'opinion, sur les idées religieuses, sur les entreprises commerciales, industrielles, politiques : le Juif, par elles, trompe et entraîne gouvernements et gouvernés. — Malgré le grand nombre des écrivains honnêtes, la Presse est, de sa nature, essentiellement vénale ; nul n'est plus intéressé que le Juif à l'acheter, et nul n'a plus d'or pour la payer. — Mais la presse a-t-elle une valeur sérieuse ? — Exemple aussi éclatant que piquant. — Un gouvernement et un grand journal, organe de la féodalité financière. — Quelle que soit la puissance des journaux, le Juif presque partout en est ou en devient le maître, mais sans apparaître. — Plus qu'un autre pays, l'Allemagne nous montre cette puissance du Juif. — Les événements de l'Europe dépendent d'une dizaine d'hommes, Juifs ou auxiliaires du Juif. — Mot effrayant et prodigieux de l'ex-premier ministre de la Grande- Bretagne, de sang judaïque, Disraeli. — Ce mot et celui de M. le prince de Metternich confirment nos pages. — Appendice. — Prodigieuse dépravation du clergé autrichien, naguère ; elle fut l'oeuvre du jansénisme et du Juif. — Prodigieuse dépravation des sentiments de l'honneur et du patriotisme, et par qui. . . . . . . . . . 357 à 382 QUATRIÈME DIVISION. — SUPÉRIORITÉ INTELLECTUELLE DU JUIF SUR LE CHRÉTIEN ; UN MOT SUR LA SUPÉRIORITÉ MORALE. Le Juif, armé de ses moyens d'influence, est aujourd'hui l'homme qui prime et qui dirige ; une force irrésistible, et qu'il ajoute aux forces que déjà nous lui connaissons, est l'incomparable supériorité de son intelligence : — Exception. — Culture acharnée de cette supériorité ; pourquoi et comment elle s'affirme dans toutes les carrières. — Elle est la preuve de son impérissable vitalité. — Cette supériorité de nature éclate jusque dans le sein des classes infimes ; description pittoresque. — Le Juif, si prompt à grandir, n'est cependant point un parvenu ; il est un gentilhomme déchu qui rentre dans ses droits de noblesse. — Autre peinture, complaisante et vraie, des étonnantes supériorités du Juif, par le premier ministre de la Grande-Bretagne, M. Disraeli. — Comment cette supériorité prépare au Juif l'empire du monde, qu'il convoite, et que déjà il exerce en partie. — La supériorité intellectuelle du Juif sur le chrétien estelle accompagnée de la supériorité morale ? . . . . . . . . . . . . . . . . 382 à 393 CINQUIÈME DIVISION. — SUPÉRIORITÉ PHYSIQUE DU JUIF, SA CONSTITUTION. Sa constitution tout exceptionnelle et privilégiée ; immunité d'infirmités et de maladies qui frappent toute autre famille humaine — TABLE DES MATIÈRES 565 Conséquence : le Juif, le peuple de la dispersion, est le seul peuple vraiment cosmopolite, c'est-à-dire dont chaque individu peut habiter impunément tout lieu quelconque de la terre. — Causes de ce privilège insigne, d'après certains explicateurs imperturbables. — Second privilège ; le Juif n'a jamais cultivé les arts qui fortifient le corps ; ses membres sont généralement grêles et faibles ; et pourtant ses forces vitales, sa longévité, l'emportent sur celles des autres peuples. — Exemples, statistiques, autorités diverses. — Mais, outre le phénomène de cette railleuse vitalité qui se produit en sens inverse de la vigueur des corps, et celui de ses immunités, un nouveau phénomène signale cet unique cosmopolite. — Quel est-il ? Une fécondité subite, que la science ne peut expliquer, et qui rappelle celle d'Israël en Egypte à l'époque des miracles de l'Exode. — Exemples. — Cette constitution qui a fait du Juif errant et dispersé l'homme le plus indestructible, le plus tenace missionnaire du mal, l'apôtre universel de l'occultisme, le prédispose-t-elle ou non à être le plus universel, le plus tenace et le mieux doué des missionnaires de l'Evangile ?..... — Tableaux statistiques de l'élément judaïque répandu dans le monde, et résumé des supériorités de ce peuple ; ce qu'il pourrait oser et faire dans un moment donné. — Exemple au chapitre suivant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 394 à 414 CHAPITRE ONZIÈME. UNE POPULATION JUIVE DU MOYEN AGE AU PLEIN MILIEU DU DIX-NEUVIÈME SIÈCLE UN MOT POUR POSER LA QUESTION. — Le flot judaïque, avons-nous dit, peut, un certain jour, couvrir un point de l'Europe et se l'approprier. — Qui seraient ces Juifs ? Des Juifs du moyen âge, et les voici. — Leurs prétentions subites, soutenues de tous leurs compatriotes du dehors et d'une partie des puissances de l'Europe. — Comment et pourquoi. — La Roumanie, théâtre de leur invasion. — Lutte des Roumains, pareille à celle des chrétiens contre le Juif au moyen âge. — Réaction contre le Juif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 414 à 417 LES PERSECUTIONS, DETAILS. — Récits et doléances du Juif. — Cris de détresse, appel à l'intervention des Juifs du dehors et des puissances. — Razzias de Juifs, emprisonnements, expulsions brutales. — Scènes désolantes. — Quelques mois de répit, et la fureur des populations se rallume ; pillage, violences, synagogues renversées, sévices affreux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 417 à 420 INSTIGATEURS OU AUTEURS DE CES PERSECUTIONS ; ACCUSATIONS HARDIES DU JUIF. — Déni de justice du prince, élu de M. de Bismark. — Son ministre tout-puissant est Bratiano ; ce chef des démocrates est le grand persécuteur. — Énormités qu'il commet, ses dénégations effrontées ; il cherche à donner le change à l'Europe. — En un mot, le grand coupable, au sens du Juif, c'est, comme au moyen âge, le prince qui ose protéger contre lui ses sujets. . . . . . . . . . . 420 à 422 A QUI LES TORTS ? — L'enquête dénote que les provocateurs des excès commis, ce sont les Juifs. — Les Juifs d'Occident, après s'être faits les échos du Juif roumain, avouent ne savoir concilier les dépositions. — Le Juif se pose contre la liberté de la presse et de la tribune, dont il est l'ardent champion dans les Etats chrétiens où son influence domine. — Si le gouvernement se déclare contre le Juif, il se borne à céder à la pression de la volonté nationale. — Cette 566 TABLE DES MATIÈRES nation roumaine est-elle barbare ? — La Roumanie a toujours été le refuge des persécutés ; son peuple est, d'après l'aveu même des Juifs, un modèle de tolérance religieuse, de bonté, d'hospitalité. Paroles de MM. Crémieux et Montefiore. — Si le Roumain n'a pas changé de moeurs en un clin d'oeil, et sans motifs, le tort serait donc comme au moyen âge, dans les exactions et les iniquités du juif ? — Mot de M. de Metternich sur l'Allemagne, applicable peutêtre demain à ce pays, — Ce qui s'y passe est-il pour l'Europe, qui a méconnu les vérités de sa vieille histoire, un avertissement providentiel ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 422 à 428 TON DICTATORIAL DU JUIF S'ADRESSANT AUX SOUVERAINS. — Les Roumains réduits à ruser contre le Juif, et contre les puissances étrangères réduites à intervenir en faveur du Juif. — De quelle encre les citoyens de la nation juive, dignes émules des citoyens du peuple-roi, écrivent aux potentats. — Exemple insigne et patience des princes. — Le Juif, « devant les atrocités » qui se commettent, se lamente « de l'hypocrisie qui règne en haut et en bas. » . . . . . . . . . . . . . . . 428 à 431 INTERVENTION DES PUISSANCES DANS L'INTERET DU JUIF, ET MALGRE LE PRINCIPE ANTICHRETIEN DE LA NON-INTERVENTION ADOPTE PAR L'EUROPE LIBERALE. — Le Juif affirme que cette hypocrisie des Roumains a pour cause la crainte des puissances, qu'il somme d'intervenir. — Insistance du chef de l'Alliance israélite universelle auprès des gouvernements. — Exemples remarquables, condescendance et empressement de ceux-ci. — Lettre de M. de Bismark. . . 432 à 437 IMMENSE IMPOPULARITE DU JUIF. — Les Juifs traités par la nation comme la lèpre et les immondices de la terre. — Le pays qui leur est livré, et qu'ils couvrent, revêt un air sinistre. — S'y déclarer pour les Juifs, c'est renoncer à toute influence . . . . . . . . . . . 437 à 442 LA CAUSE DE L'IMMENSE IMPOPULARITE DU JUIF ET DES PERSECUTIONS QU'IL SUBIT, EST LA MEME QU'AU MOYEN AGE. — SON ATTENTE ET SES ESPERANCES DE DOMINATION SONT LES MEMES. — Le concert de mépris et de fureurs qui poursuit le Juif ne reste invariable que parce que le Juif n'a point varié. — Documents accablants, et Manifeste admirable d'hommes d'Etat du pays contre le Juif. — Dans ce lambeau d'histoire actuelle, on retrouve tout vivant le Juif des siècles anciens. — Terreurs qu'il inspire par ses moeurs insociables, par l'incessant, l'effrayant accroissement de son nombre. — Action calamiteuse sur les forces vitales du pays : usure effrénée, monopole, falsification des denrées alimentaires. — Les Juifs sont diamétralement opposés en toutes choses aux autres hommes ; leur tendance est de s'élever sur les ruines d'autrui. — Ils espèrent se reformer en nation distincte, puis dominante. — Ils essayent d'ériger dans la Roumanie cet Etat judaïque qui serait la première réalisation de leurs voeux... — Projet de loi formulé pour repousser le danger social qu'expose ce document authentique. — Cris des Juifs ; l'Europe s'émeut. — Lettre de M. de Bismark rassurant ces Juifs contre les intentions des hommes d'Etat roumains. — Conclusion. . . . . . 442 à 459 CHAPITRE DOUZIÈME. PREMIÈRE DIVISION. — LE MESSIE JUDAÏQUE. Le Juif orthodoxe ne cesse d'espérer une révolution universelle qui l'élèvera, par son Messie, au-dessus de tous les peuples. — Israël TABLE DES MATIÈRES 567 a-t-il ou non conservé sa foi naïve et robuste au Messie ? Oui, mais le Juif, depuis quelques années, n'est plus, ici et là-bas, semblable à lui-même. — Le rabbin Lazard énonce que le rétablissement de Jérusalem n'est que chose idéale, qui ne nuit pas, en conséquence, à leur patriotisme national. — Les réformateurs allemands tiennent le même langage, parce que parler de ce rétablissement serait un obstacle à leur émancipation. — Les Juifs anglais sont plus francs, et l'immense majorité des Juifs croit au Messie, mais défense est faite d'en fixer la date. — Le Messie des talmudisants reste le pivot de la foi judaïque. — Lettre de M. Lévy Bing sur le Messie, chefd'oeuvre de clarté. — L'unification des peuples doit s'opérer, afin qu'Israël puisse être, au-dessus d'eux tous, le peuple-Pape. — Le toast universel. — La patrie de coeur et définitive de tout juif, c'est donc encore la Judée. — Cependant le Messie ne sera pas de nature divine. — Il rebâtira Jérusalem et y ramènera les Juifs délivrés. — Le Juif talmudique se nourrit de l'espoir de la conquête et de la spoliation des peuples qui lui donnent droit de cité. — Preuve, anecdotes. — Pour le Juif progressiste, le Messie est l'époque philosophique actuelle, qui renverse Eglise et Talmud ; pour le Juif orthodoxe, cette époque est une des étapes qui préparent le Messie réel. — Grotesques superstitions. — Familles messianiques, descriptions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 460 à 482 DEUXIÈME DIVISION. — LE MESSIE JUDAÏQUE, SUITE, RÉALITÉS ET CONJECTURES. L'attente d'un Messie, futur dominateur des peuples, est l'attente « du noyau indestructible de la nation ». — Malgré les opinions dissidentes des réformistes, un événement les rallierait aux croyants. — Si quelque séducteur se donnait pour le Messie, les Juifs pencheraient- ils de son côté ou du côté des Etats qui les ont faits citoyens ? — Rapports évidents entre le Messie que le Juif attend, et l'homme que le chrétien désigne sous le nom d'Antéchrist. — Tout se prépare pour la grande unité cosmopolite dont cet homme doit être l'expression. — Lorsque s'achèvera l'oeuvre de déchristianiser le monde, le monde ne pourra-t-il accepter pour maître un fascinateur de race judaïque ? — Exemples de dominateurs repoussés, puis unanimement acceptés. — Exemples d'hommes tout à coup sortis du néant pour s'élever au pinacle en temps de tourmente. — Du train de vapeur dont vont les idées et les choses, comment s'étonner que surgisse du sein de Juda celui qui réalisera les idées de souveraineté cosmopolite dont les Juifs sont les apôtres ? — Quelque Moïse ne se mettra-t-il pas à la tête de quelque formidable exode ? — Les Juifs ne peuvent-ils au moins se faire les seconds, et l'appoint, des forces de quelque conquérant ? — Exemples des ressources qu'Israël sait accumuler sur un même point ; possibilités, facilités. — Coup d'oeil jeté des hauteurs de l'histoire sur l'avenir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 482 à 509 CHAPITRE APPENDICE. LES DEUX CABALES OU LA SCIENCE DES TRADITIONS. PREMIÈRE DIVISION. — LA CABALE DIVINE. Cabale, ou traditions orales de la Synagogue antérieures aux livres bibliques. — Les deux branches de cette cabale d'ordre divin. — La 568 TABLE DES MATIÈRES cabale est confiée à un corps spécial de docteurs. — Corruption de la cabale, devenue un réceptacle de superstitions magiques et de goétie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 509 à 514 DEUXIÈME DIVISION. — LA CABALE MAGIQUE OU DE GAUCHE, C'EST-A-DIRE LA CABALE PHARISAÏQUE. Elle est le dogme de la magie, la clef des sociétés secrètes ou de l'occultisme. — Puissance souveraine qu'elle donne aux hommes qui la possèdent. — Les Juifs, nos maîtres en magie, en furent les dépositaires les plus fidèles. — Ses origines. — Elle est « enfantée par le besoin d'indépendance », c'est-à-dire de révolte. — Elle donne la connaissance des esprits de ce monde, et gouverne tout être par la vertu des lettres, des mots et des nombres. — Le monde est formé sur le plan mystique de l'alphabet. — La cabale est la clef du monde invisible, le secret du spiritisme antique. — Le cabaliste doit s'unir corps et âme aux Anges qui exercent leur influence sur les astres ; et c'est par leur nom qu'on les maîtrise. — Cette magie sidérale est celle des mathématiciens de Rome, c'est-à-dire des Chaldéens ou astrologues, qui, après avoir été les oracles du monde payen, furent presque à toutes les époques des oracles dans le monde chrétien . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 514 à 525 TROISIÈME DIVISION. — LA CABALE MAGIQUE. Toutes les religions dogmatiques, nous dit un savant cabaliste, sont issues de la cabale. — « Toutes les associations maçonniques lui doivent leurs secrets et leurs symboles. » — Ces traditions sont jalousement conservées par le sacerdoce ; et, d'après lui, les Clavicules de Salomon sont le rituel, disons le grimoire, d'un Pape. — Les principaux réceptacles de la cabale judaïque sont le Zohar et le Talmud. — Elle se retrouve chez tous les peuples, dans tout ce qui est mystère, et cette doctrine mystique descend des Chaldéens issus de Cham. — Abraham est dit magicien cabaliste, parce qu'il était Chaldéen. — Magie et goétie inséparables de la cabale. — Les Juifs, qui sont les plus fidèles dépositaires des secrets de la cabale, sont en magie les grands maîtres du moyen âge. — Représentant l'esprit de ténèbres, ou de l'occultisme, ils étaient les missionnaires et les grands maîtres de l'occultisme. — Les traditions cabalistiques glissent leur venin dans les diverses branches des connaissances humaines en raison de la part qu'y prennent les Juifs. — Exemple : la médecine exercée par les Juifs ; elle est entachée de magie. — Ils mêlent la médecine à l'astrologie. — Les conciles et les Pères de l'Eglise contre ces pratiques. — Pour achever de pervertir la science sociale, les cabalistes, dont les princes sont des Juifs, font pénétrer la doctrine cabalistique chez les templiers, que les maçons se donnent pour ancêtres. — Leur but. — Révélations de leurs successeurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 525 à 544 NOTE TRES-IMPORTANTE. — Origine caïnite ou chamite de la cabale. — Autres notes importantes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 545 à 554 F IN DE LA TABLE DES MATIÈRES.