De l'origine des espèces

Table des matières......Page 3
De l\'Origine des Espèces......Page 10
NOTICE HISTORIQUE SUR LES PROGRÈS DE L\'OPINION RELATIVE À L\'ORIGINE DES ESPÈCES AVANT LA PUBLICATION DE LA PREMIÈRE ÉDITION ANGLAISE DU PRÉSENT OUVRAGE.......Page 11
INTRODUCTION......Page 22
CHAPITRE I - DE LA VARIATION DES ESPÈCES À L\'ÉTAT DOMESTIQUE......Page 27
CAUSES DE LA VARIABILITÉ.......Page 28
EFFETS DES HABITUDES ET DE L\'USAGE OU DU NON-USAGE DES PARTIES ; VARIATION PAR CORRELATION ; HÉRÉDITÉ.......Page 33
CARACTÈRES DES VARIÉTÉS DOMESTIQUES ; DIFFICULTÉ DE DISTINGUER ENTRE LES VARIÉTÉS ET LES ESPÈCES ; ORIGINE DES VARIÉTÉS DOMESTIQUES ATTRIBUÉE À UNE OU À PLUSIEURS ESPÈCE.......Page 38
RACES DU PIGEON DOMESTIQUE, LEURS DIFFERENCES ET LEUR ORIGINE.......Page 43
PRINCIPES DE SÉLECTION ANCIENNEMENT APPLIQUÉS ET LEURS EFFETS.......Page 52
SÉLECTION INCONSCIENTE.......Page 57
CIRCONSTANCES FAVORABLES À LA SÉLECTION OPERÉE PAR L\'HOMME.......Page 63
CHAPITRE II - DE LA VARIATION À L\'ÉTAT DE NATURE.......Page 67
VARIABILITÉ.......Page 68
DIFFÉRENCES INDIVIDUELLES.......Page 70
ESPÈCES DOUTEUSES.......Page 73
LES ESPÈCES COMMUNES ET TRÈS RÉPANDUES SONT CELLES QUI VARIENT LE PLUS.......Page 81
LES ESPÈCES DES GENRES LES PLUS RICHES DANS CHAQUE PAYS VARIENT PLUS FRÉQUEMMENT QUE LES ESPÈCES DES GENRES MOINS RICHES.......Page 83
BEAUCOUP D\'ESPÈCES COMPRISES DANS LES GENRES LES PLUS RICHES RESSEMBLENT À DES VARIÉTÉS EN CE QU\'ELLES SONT TRÈS ÉTROITEMENT, MAIS INÉGALEMENT VOISINES LES UNES DES AUTRES, ET EN CE QU\'ELLES ONT UN HABITAT TRES LIMITÉ.......Page 86
RÉSUMÉ.......Page 89
CHAPITRE III - LA LUTTE POUR L\'EXISTENCE.......Page 90
L\'EXPRESSION : LUTTE POUR L\'EXISTENCE, EMPLOYÉE DANS LE SENS FIGURÉ.......Page 93
PROGRESSION GÉOMÉTRIQUE DE L\'AUGMENTATION DES INDIVIDUS.......Page 94
DE LA NATURE DES OBSTACLES À LA MULTIPLICATION.......Page 98
RAPPORTS COMPLEXES QU\'ONT ENTRE EUX LES ANIMAUX ET LES PLANTES DANS LA LUTTE POUR L\'EXISTENCE.......Page 102
LA LUTTE POUR L\'EXISTENCE EST PLUS ACHARNÉE QUAND ELLE A LIEU ENTRE DES INDIVIDUS ET DES VARIÉTÉS APPARTENANT À LA MÊME ESPÈCE.......Page 107
CHAPITRE IV - LA SÉLECTION NATURELLE OU LA PERSISTANCE DU PLUS APTE.......Page 110
SÉLECTION SEXUELLE.......Page 120
EXEMPLES DE L\'ACTION DE LA SÉLECTION NATURELLE OU DE LA PERSISTANCE DU PLUS APTE.......Page 123
DU CROISEMENT DES INDIVIDUS.......Page 130
CIRCONSTANCES FAVORABLES À LA PRODUCTION DE NOUVELLES FORMES PAR LA SÉLECTION NATURELLE.......Page 136
LA SÉLECTION NATURELLE AMÈNE CERTAINES EXTINCTIONS.......Page 144
DIVERGENCE DES CARACTÈRES.......Page 146
EFFETS PROBABLES DE L\'ACTION DE LA SÉLECTION NATURELLE, PAR SUITE DE LA DIVERGENCE DES CARACTÈRES ET DE L\'EXTINCTION, SUR LES DESCENDANTS D\'UN ANCÊTRE COMMUN.......Page 151
DU PROGRÈS POSSIBLE DE L\'ORGANISATION.......Page 160
CONVERGENCE DES CARACTÈRES.......Page 165
RÉSUMÉ DU CHAPITRE.......Page 168
CHAPITRE V - DES LOIS DE LA VARIATION.......Page 172
EFFETS PRODUITS PAR LA SÉLECTION NATURELLE SUR L\'ACCROISSEMENT DE L\'USAGE ET DU NON-USAGE DES PARTIES.......Page 175
ACCLIMATATION.......Page 181
VARIATIONS CORRÉLATIVES.......Page 185
COMPENSATION ET ÉCONOMIE DE CROISSANCE.......Page 189
LES CONFORMATIONS MULTIPLES, RUDIMENTAIRES ET D\'ORGANISATION INFÉRIEURE SONT VARIABLES.......Page 191
UNE PARTIE EXTRAORDINAIREMENT DÉVELOPPÉE CHEZ UNE ESPÈCE QUELCONQUE COMPARATIVEMENT À L\'ÉTAT DE LA MÊME PARTIE CHEZ LES ESPÈCES VOISINES, TEND À VARIER BEAUCOUP.......Page 193
LES CARACTÈRES SPÉCIFIQUES SONT PLUS VARIABLES QUE LES CARACTÈRES GÉNÉRIQUES.......Page 197
LES CARACTÈRES SEXUELS SECONDAIRES SONT VARIABLES.......Page 199
LES ESPÈCES DISTINCTES PRÉSENTENT DES VARIATIONS ANALOGUES, DE TELLE SORTE QU\'UNE VARIÉTÉ D\'UNE ESPÈCE REVÊT SOUVENT UN CARACTÈRE PROPRE À UNE ESPÈCE VOISINE, OU FAIT RETOUR À QUELQUES-UNS DES CARACTÈRES D\'UN ANCÊTRE ÉLOIGNÉ.......Page 202
RÉSUMÉ.......Page 210
CHAPITRE VI - DIFFICULTÉS SOULEVÉES CONTRE L\'HYPOTHÈSE DE LA DESCENDANCE AVEC MODIFICATIONS.......Page 213
DU MANQUE OU DE LA RARETÉ DES VARIÉTÉS DE TRANSITION.......Page 215
DE L\'ORIGINE ET DES TRANSITIONS DES ÊTRES ORGANISÉS AYANT UNE CONFORMATION ET DES HABITUDES PARTICULIÈRES.......Page 221
ORGANES TRÈS PARFAITS ET TRÈS COMPLEXES.......Page 228
MODES DE TRANSITIONS.......Page 233
DIFFICULTÉS SPÉCIALES DE LA THÉORIE DE LA SÉLECTION NATURELLE.......Page 237
ACTION DE LA SÉLECTION NATURELLE SUR LES ORGANES PEU IMPORTANTS EN APPARENCE.......Page 246
JUSQU\'À QUEL POINT EST VRAIE LA DOCTRINE UTILITAIRE ; COMMENT S\'ACQUIERT LA BEAUTÉ.......Page 250
RÉSUMÉ : LA THÉORIE DE LA SÉLECTION NATURELLE COMPREND LA LOI DE L\'UNITÉ DE TYPE ET DES CONDITIONS D\'EXISTENCE.......Page 256
CHAPITRE VII - OBJECTIONS DIVERSES FAITES À LA THÉORIE DE LA SÉLECTION NATURELLE.......Page 260
CHAPITRE VIII - INSTINCT.......Page 305
LES CHANGEMENTS D\'HABITUDES OU D\'INSTINCT SE TRANSMETTENT PAR HÉRÉDITÉ CHEZ LES ANIMAUX DOMESTIQUES.......Page 311
INSTINCTS SPÉCIAUX.......Page 315
OBJECTIONS CONTRE L\'APPLICATION DE LA THÉORIE DE LA SÉLECTION NATURELLE AUX INSTINCTS : INSECTES NEUTRES ET STÉRILES.......Page 335
RÉSUMÉ......Page 343
CHAPITRE IX - HYBRIDITÉ.......Page 345
DEGRÉS DE STÉRILITÉ.......Page 347
LOIS QUI RÉGISSENT LA STÉRILITÉ DES PREMIERS CROISEMENTS ET DES HYBRIDES.......Page 354
ORIGINE ET CAUSES DE LA STÉRILITÉ DES PREMIERS CROISEMENTS ET DES HYBRIDES.......Page 362
DIMORPHISME ET TRIMORPHISME RÉCIPROQUES.......Page 369
LA FÉCONDITE DES VARIÉTÉS CROISÉES ET DE LEURS DESCENDANTS MÉTIS N\'EST PAS UNIVERSELLE.......Page 373
COMPARAISON ENTRE LES HYBRIDES ET LES MÉTIS, INDÉPENDAMMENT DE LEUR FÉCONDITÉ.......Page 378
RÉSUMÉ.......Page 382
CHAPITRE X - INSUFFISANCE DES DOCUMENTS GÉOLOGIQUES......Page 385
DU LAPS DE TEMPS ÉCOULÉ, DÉDUIT DE L\'APPRÉCIATION DE LA RAPIDITÉ DES DÉPOTS ET DE L\'ÉTENDUE DES DÉNUDATIONS.......Page 388
PAUVRETÉ DE NOS COLLECTIONS PALÉONTOLOGIQUES.......Page 394
DE L\'ABSENCE DE NOMBREUSES VARIÉTÉS INTERMÉDIAIRES DANS UNE FORMATION QUELCONQUE.......Page 401
APPARITION SOUDAINE DE GROUPES ENTIERS D\'ESPÈCES ALLIÉES.......Page 411
DE L\'APPARITION SOUDAINE DE GROUPES D\'ESPÈCES ALLIÉES DANS LES COUCHES FOSSILIFÈRES LES PLUS ANCIENNES.......Page 416
RÉSUMÉ.......Page 421
CHAPITRE XI - DE LA SUCCESSION GÉOLOGIQUE DES ÊTRES ORGANISÉS.......Page 422
EXTINCTION.......Page 427
DES CHANGEMENTS PRESQUE INSTANTANÉS DES FORMES VIVANTES DANS LE MONDE.......Page 432
DES AFFINITÉS DES ESPÈCES ÉTEINTES LES UNES AVEC LES AUTRES ET AVEC LES FORMES VIVANTES.......Page 438
DU DEGRÉ DE DEVELOPPEMENT DES FORMES ANCIENNES COMPARÉ À CELUI DES FORMES VIVANTES.......Page 446
DE LA SUCCESSION DES MÊMES TYPES DANS LES MÊMES ZONES PENDANT LES DERNIÈRES PÉRIODES TERTIAIRES.......Page 451
RÉSUMÉ DE CE CHAPITRE ET DU CHAPITRE PRÉCÉDENT.......Page 454
CHAPITRE XII - DISTRIBUTION GÉOGRAPHIQUE.......Page 458
CENTRES UNIQUES DE CRÉATION.......Page 464
MOYENS DE DISPERSION.......Page 468
DISPERSION PENDANT LA PÉRIODE GLACIAIRE.......Page 477
PÉRIODES GLACIAIRES ALTERNANTES AU NORD ET AU MIDI.......Page 484
CHAPITRE XIII - DISTRIBUTION GÉOGRAPHIQUE (SUITE).......Page 494
PRODUCTIONS D\'EAU DOUCE.......Page 495
LES HABITANTS DES ÎLES OCÉANIQUES.......Page 500
ABSENCE DE BATRACIENS ET DE MAMMIFÈRES TERRESTRES DANS LES ÎLES OCÉANIQUES.......Page 505
SUR LES RAPPORTS ENTRE LES HABITANTS DES ÎLES ET CEUX DU CONTINENT LE PLUS RAPPROCHÉ.......Page 510
RÉSUMÉ DE CE CHAPITRE ET DU CHAPITRE PRÉCÉDENT.......Page 518
CHAPITRE XIV - AFFINITÉS MUTUELLES DES ÊTRES ORGANISÉS ; MORPHOLOGIE ; EMBRYOLOGIE ; ORGANES RUDIMENTAIRES.......Page 522
CLASSIFICATION.......Page 523
RESSEMBLANCES ANALOGUES.......Page 536
SUR LA NATURE DES AFFINITÉS RELIANT LES ÊTRES ORGANISÉS.......Page 542
MORPHOLOGIE.......Page 547
DÉVELOPPEMENT ET EMBRYOLOGIE.......Page 553
ORGANES RUDIMENTAIRES, ATROPHIÉS ET AVORTÉS.......Page 566
RÉSUMÉ.......Page 574
CHAPITRE XV - RÉCAPITULATION ET CONCLUSIONS.......Page 576
GLOSSAIRE......Page 609