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نویسندگان: Ratié. Isabelle
سری: Jerusalem studies in religion and culture volume 13
ISBN (شابک) : 9789004203440, 9004203443
ناشر: Brill
سال نشر: 2011
تعداد صفحات: 811
زبان: English
فرمت فایل : PDF (درصورت درخواست کاربر به PDF، EPUB یا AZW3 تبدیل می شود)
حجم فایل: 4 مگابایت
کلمات کلیدی مربوط به کتاب Le soi et l'autre: identité, différence et altérité dans la philosophie de la Pratyabhijñā: است
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توجه داشته باشید کتاب Le soi et l'autre: identité, différence et altérité dans la philosophie de la Pratyabhijñā نسخه زبان اصلی می باشد و کتاب ترجمه شده به فارسی نمی باشد. وبسایت اینترنشنال لایبرری ارائه دهنده کتاب های زبان اصلی می باشد و هیچ گونه کتاب ترجمه شده یا نوشته شده به فارسی را ارائه نمی دهد.
این کتاب با نشان دادن اینکه چگونه مفاهیم اصلی آن از رویارویی عقاید مذهبی سایوا با نظام های بودایی و برهمنی نشأت می گیرد، ارائه ای جامع از فلسفه پراتیابهینا (که در قرن های 10 و 11 توسط Utpaladeva و Abhinavagupta شرح داده شد) ارائه می دهد. - این اثر ارائه مفصلی از فلسفه Pratyabhijña (در قرن 10-11 توسط Utpaladeva و Abhinavagupta شرح داده شده است) ارائه می دهد و نشان می دهد که چگونه مفاهیم اصلی آن از رویارویی بین جزمات مذهبی Saiva و سیستم های بودایی و برهمنی پدید آمده است.
This book offers a comprehensive presentation of the Pratyabhijña philosophy (elaborated in the 10th and 11th centuries by Utpaladeva and Abhinavagupta) by showing how its main concepts arose from the confrontation of Saiva religious dogmas with Buddhist and Brahmanical systems. - Cet ouvrage offre une présentation détaillée de la philosophie de la Pratyabhijña (élaborée aux 10e-11e siècles par Utpaladeva et Abhinavagupta) et montre comment ses principaux concepts ont émergé d’une confrontation entre les dogmes religieux sivaïtes et les systèmes bouddhiques et brahmaniques.
Table des Matières......Page 8
Avant-propos......Page 22
I. Le paradoxe de la reconnaissance de soi : identité, altération, altérité......Page 26
II. 1. L’arrière-plan religieux : le śivaïsme non dualiste et la question de l’identité......Page 29
II. 2. 1. Une voie phénoménologique et dialectique......Page 31
II. 2. 2. Philosophie ou théologie ?......Page 36
III. 1. Existe-t-il un Soi ? La question de la permanence (nityatva, sthairya) du sujet conscient......Page 39
III. 2. Tout est-il le Soi ? La question de l’extériorité (bāhyatva) de l’objet de conscience......Page 42
III. 3. Si tout est le Soi, quel statut ontologique pour l’altérité (paratva) et pour la différence (bheda) ?......Page 44
III. 4. Le problème du statut épistémologique et sotériologique de l’enquête sur le Soi......Page 45
IV. À propos de la démarche adoptée ici vis-à-vis des textes......Page 56
I. 1. L’école des logiciens bouddhistes : des cognitions sans Soi......Page 60
I. 1. 1. Cognition (jñāna) et manifestation (prakāśa)......Page 61
I. 1. 2. Cognitions et instantanéité (kṣaṇikatva)......Page 62
I. 1. 3. Auto-luminosité (svaprakāśatva) et conscience de soi (svasaṃvedana) de la cognition......Page 63
I. 1. 4. La thèse bouddhique : il n’est pas de Soi hors du soi des cognitions......Page 70
I. 1. 5. La distinction bouddhique entre perception (pratyakṣa)......Page 72
I. 1. 6. La notion bouddhique de drśyānupalabdhi : le Soi n’existe pas, parce qu’il n’est pas perçu......Page 74
I. 2. La critique bouddhique de la « cognition du Je » (ahaṃpratīti)......Page 76
I. 2. 1. La notion brahmanique de « cognition du Je »......Page 77
I. 2. 2. La critique bouddhique de la « cognition du Je »......Page 81
I. 2. 3. Sur l’argument mīmāṃsaka de la « cognition du Je » et la « reconnaissance » (pratyabhijñā)......Page 85
II. L’argument de l’inférence du Soi (ĪPK I, 2, 3-6) : la question de la mémoire......Page 87
II. 1. 1. Le souvenir comporte l’expérience passée, bien qu’elle soit détruite......Page 88
II. 1. 2. La mémoire, synthèse (anusaṃdhāna) de cognitions diverses, suppose un sujet unique......Page 91
II. 2. 1. La cause de la similarité entre l’objet expérimenté et l’objet du souvenir : la trace résiduelle (saṃskāra) (ĪPK I, 2, 4-5)......Page 94
II. 2. 2. La critique de l’argument ātmavādin fondé sur la relation entre les qualités (guṇa) et leur substrat (guṇin) (ĪPK I, 2, 5-6)......Page 100
III. La critique bouddhique du pouvoir de connaissance (jñānaśakti) : l’impossible relation du Soi et des cognitions......Page 105
III. 1. Le problème de la relation entre un Soi conscient et une cognition consciente (ĪPK I, 2, 7)......Page 106
III. 1. 1. L’inférence de la permanence (nityatva) du Soi à partir de sa nature consciente (citsvarūpa)......Page 107
III. 1. 2. La critique bouddhique : une cognition consciente serait un autre Soi ; une cognition inconsciente ne serait plus cognition......Page 116
III. 2. 1. La théorie sāṃkhya de l’intellect-miroir......Page 119
III. 2. 2. La critique bouddhique de la théorie de l’intellect-miroir : l’intellect-miroir doit lui-même être conscient......Page 126
IV. Remarques sur la stratégie de la Pratyabhijñā dans l’exposé du pūrvapakṣa......Page 131
Chapitre 2 La riposte de la Pratyabhijñā : le problème de la synthèse cognitive......Page 134
I. 1. Le confinement à soi (ātmaniṣṭhatva) de la cognition dans la perspective bouddhique et la question de l’expérience passée......Page 135
I. 2. 1. L’intégration du concept de cognition svasaṃvedana au système de la Pratyabhijñā : de la capacité à se manifester soi-même à l’impossibilité d’être objectivée......Page 137
I. 2. 2. Cette reformulation du principe bouddhique est-elle légitime ?......Page 143
I. 3. Le mécanisme des traces résiduelles n’explique pas la conscience de l’expérience passée......Page 149
II. 1. La thèse bouddhique du caractère illusoire du souvenir......Page 155
II. 2. 1. L’argument de l’essence de la mémoire (smrtitā)......Page 156
II. 2. 2. L’argument de l’établissement de l’objet (arthasthiti)......Page 158
II. 2. 3. L’argument de la théorie des traces résiduelles......Page 161
II. 2. 4. L’argument de l’impossibilité pour une cognition erronée de déterminer un objet réel......Page 162
III. 1. De la nécessité d’une synthèse mémorielle : mémoire, désir et vyavahāra......Page 168
III. 2. 1. L’impossibilité de la connexion (samanvaya)......Page 170
III. 2. 2. L’impossibilité de la causalité......Page 172
III. 2. 3. L’impossibilité de la contradiction......Page 178
III. 3. De la nécessité d’une synthèse perceptive......Page 182
III. 3. 1. La prise de conscience (vimarśa) ou la capacité immédiate de la conscience à s’appréhender comme . . .......Page 183
III. 3. 2. Toute manifestation consciente (prakāśa) suppose une prise de conscience (vimarśa) : la synthèse perceptive......Page 187
III. 4. Conclusion : l’impossibilité de la synthèse si la conscience n’est que cognitions......Page 192
I. 1. Le vocabulaire théiste de la kārikā et sa conceptualisation......Page 194
I. 2. 1. La définition du pouvoir de connaissance (jñānaśakti)......Page 199
I. 2. 2. La définition du pouvoir de mémoire (smrtiśakti)......Page 205
I. 2. 3. La définition du pouvoir d’exclusion (apohanaśakti)......Page 207
II. Le sujet, synthèse (anusaṃdhāna) des cognitions......Page 209
II. 1. Les cognitions (jñāna), formes contractées (saṃkucita) librement assumées par la conscience (cit)......Page 210
II. 2. La conscience (cit), agent et acte de la synthèse cognitive......Page 214
II. 3. Le sujet comme fondement de la connexion, de la causalité et dela contradiction......Page 216
II. 3. 1. Le sujet, condition de possibilité de la connexion......Page 217
II. 3. 2. Le sujet, condition de possibilité de la causalité......Page 219
II. 3. 3. Le sujet, condition de possibilité de la contradiction......Page 221
II. 4. 1. La temporalité des cognitions, reflet de la temporalité de leurs objets......Page 222
II. 4. 2. Sujet empirique et sujet absolu : deux prises de conscience du Je (ahaṃpratyavamarśa)......Page 229
II. 4. 3. Le sujet et la temporalité......Page 233
III. 1. 1. Le sujet du souvenir est libre......Page 237
III. 1. 2. Le sujet du souvenir est pourtant temporalisé......Page 238
III. 1. 3. Le sujet du souvenir – la conscience pure, en tant que sujet empirique......Page 239
III. 2. 1. La conscience de soi (svasaṃvedana) du souvenir doit être conscience d’avoir été l’expérience passée (ĪPK I, 4, 2-3)......Page 242
III. 2. 2. La prise de conscience (vimarśa) de l’expérience passée n’est pas une objectivation de l’expérience passée (ĪPK I, 4, 4-7)......Page 247
III. 2. 3. En quoi le souvenir est un concept (vikalpa) – et en quoi il ne l’est pas......Page 254
III. 3. Synthèse (anusaṃdhāna) et reconnaissance (pratyabhijñā)......Page 262
III. 4. 1. L’argument de la mémoire dans la kārikā I, 7, 5......Page 267
III. 4. 2. L’argument « direct » et l’argument par « supposition nécessaire » : une voie ou deux ?......Page 270
III. 4. 3. De la différence entre l’argument des chapitres I, 2-4 et celui de la kārikā I, 7, 5 – ou du rôle cathartique de la raison dans la Pratyabhijñā......Page 273
Chapitre 4 Le Soi, les cognitions, leur relation : la position de la Pratyabhijñā au sein de la controverse sur l’ātman......Page 278
I. 1. Ce que la position de Kumārila et celle de la Pratyabhijñā ont en commun : la reconnaissance de soi......Page 279
I. 2. 1. En quel sens la conscience du Soi est-elle pratyakṣa ?......Page 282
I. 2. 2. En quel sens la cognition du Je est-elle un vikalpa ?......Page 286
II. 2. 1. Les concepts de synthèse et de Soi-substrat dans le Nyāya et le Vaiśeṣika......Page 290
II. 2. 2. Les concepts de synthèse et de substrat dans la Pratyabhijñā......Page 292
III. 1. 1. En quoi le Soi est immanent aux cognitions selon la Pratyabhijñā......Page 296
III. 1. 2. En quoi le Soi transcende les cognitions selon la Pratyabhijñā......Page 298
III. 2. 1. La critique de l’intellect-miroir par la Pratyabhijñā : c’est le conscient qui reflète l’inconscient, et non l’inverse......Page 301
III. 2. 2. La critique de la conception sāṃkhya du Soi passif – un approfondissement de la notion de réflexion consciente......Page 305
IV. 1. 1. La continuité factice de l’individu : son objectivité......Page 314
IV. 1. 2. La racine de l’individuation : identification factice ou perte d’identité ?......Page 316
IV. 1. 3. La continuité réelle de l’individu : sa subjectivité......Page 317
IV. 2. 1. La conception bouddhique de l’identité comme pure unité : l’exemple de la critique de l’action......Page 319
IV. 2. 2. La réponse de la Pratyabhijñā : l’identité n’est pas unité, mais dynamisme......Page 324
IV. 2. 3. Identité et idéalisme......Page 329
Chapitre 5 Ce que l’idéalisme du Vijñānavāda et celui de la Pratyabhijñā ont en commun......Page 332
I. La thèse : la condition de possibilité de la manifestation externe de l’objet, c’est son existence interne (ĪPK I, 5, 1)......Page 334
II. L’impossibilité de la manifestation objective dans la perspective des externalismes brahmaniques et bouddhiques (ĪPK I, 5, 2)......Page 336
II. 1. 1. L’évidence du sens commun : l’objet de la perception est externe (bāhya)......Page 337
II. 1. 2. Être manifeste n’est pas une propriété inhérente à la nature de l’objet......Page 338
II. 2. 1. La thèse des bhāṭṭa : la propriété d’être manifeste (prakaṭatā), causée par l’acte cognitif, appartient à l’objet......Page 341
II. 2. 2. La thèse des bouddhistes externalistes : la particularité (viśeṣa ) d’être manifeste, conditionnée par l’acte cognitif, appartient à l’objet......Page 342
II. 2. 3. La réfutation des deux thèses : la relation de sujet à objet n’est pas seulement de causalité, mais d’identité......Page 344
II. 3. 1. La thèse des prābhākara : la cognition, qui est manifestation (prakāśa) de l’objet, est une propriété du sujet......Page 351
II. 3. 2. Sa réfutation : si la manifestation et l’objet sont séparés, la manifestation de l’objet est impossible......Page 353
II. 4. 1. La lumière ne peut être séparée (bhinna) de l’objet : elle doit constituer son essence......Page 362
II. 4. 2. La lumière ne peut être scindée (bhinna) en cognitions hétérogènes : son unité doit transcender la diversité objective......Page 363
III. L’impossibilité de la diversité phénoménale dans la perspective des externalismes brahmaniques et bouddhiques (ĪPK I, 5, 3)......Page 365
III. 1. La nécessité pour l’externaliste d’adopter la doctrine selon laquelle la conscience est sans aspect (nirākāratāvāda)......Page 366
III. 2. La réfutation du nirākāratāvāda......Page 368
III. 3. Si la conscience a l’aspect de l’objet, l’objet n’est-il qu’un aspect de la conscience ? L’argument du sahopalambhaniyama......Page 370
III. 4. La riposte des bouddhistes externalistes : la différenciation phénoménale a sa cause hors de la cognition......Page 373
III. 4. 2. Les cognitions diverses et les objets divers dépendent d’un même ensemble de conditions (ekasāmagrī)......Page 374
III. 5. 1. L’impossibilité d’expliquer par des causes externes les différences inhérentes aux objets manifestés......Page 379
III. 5. 2. L’impossibilité d’expliquer par des causes externes les différences inhérentes à la manifestation des objets......Page 383
IV. La conclusion de l’argument : être, c’est être manifeste......Page 386
Chapitre 6 Le miroir, le rêveur et le yogin – la réfutation de l’externalisme des sautrāntika et de l’idéalisme des vijñānavādin......Page 392
I. 1. 1. En quel sens l’objet externe est-il « un objet d’inférence » (anumeya ) ?......Page 393
I. 1. 2. La raison de l’inférence : la conscience, indifférenciée, ne peut être la cause de la diversité phénoménale......Page 397
I. 2. La théorie des imprégnations (vāsanā) du vijñānavādin et sa critique par le sautrāntika......Page 402
II. La critique de l’externalisme inférentiel des sautrāntika à l’aide d’arguments du Vijñānavāda (ĪPK I, 5, 6)......Page 410
II. 1. L’inférence de l’objet externe est inutile......Page 411
II. 2. 1. L’argument principal......Page 413
II. 2. 2. Les arguments additionnels......Page 415
III. Une alternative aux modèles du miroir et du rêveur : la création du yogin (ĪPK I, 5, 7)......Page 428
III. 1. Une création sans cause matérielle (nirupādāna)......Page 429
III. 2. 1. La « rationalisation » de la création du yogin : causalité mondaine (laukika) et causalité supramondaine (lokottara)......Page 435
III. 2. 2. La causalité supramondaine et le problème de l’inférence......Page 438
III. 3. 1. Un cercle logique ?......Page 441
III. 3. 2. Le rôle de l’exemple (drṣṭānta) dans l’inférence : un appel à l’expérience......Page 443
III. 3. 3. Le drṣṭānta : exemple ou analogie ? Trois hypothèses (saṃbhāvanā) pour rendre compte de la variété phénoménale......Page 444
III. 3. 4. Les analogies du rêve, du souvenir et de l’imagination......Page 449
III. 3. 5. Des raisons de la préférence de la Pratyabhijñā pour l’analogie du yogin......Page 452
III. 3. 6. La liberté créatrice de la conscience : hypothèse ou évidence ?......Page 463
IV. La critique de l’externalisme inférentiel des sautrāntika par la Pratyabhijñā (ĪPK I, 5, 8-9)......Page 467
IV. 1. La nécessité pour l’objet inféré d’avoir été perçu dans le passé......Page 468
IV. 2. 1. L’objection de l’externaliste : la distinction entre pratyakṣato drṣṭa et sāmānyato drṣṭa......Page 471
IV. 2. 2. La réponse de la Pratyabhijñā : même dans l’inférence des organes sensoriels, la causalité est directement perçue......Page 475
IV. 2. 3. Le problème de la conceptualisation de l’objet externe......Page 483
IV. 2. 4. L’ambiguïté du terme « extériorité » (bāhyatā) et l’impossibilité d’établir l’existence de l’objet externe......Page 490
V. La liberté (svātantrya) comme cause de la variété phénoménale : une supposition nécessaire......Page 499
I. La réfutation de l’externalisme équivaut-elle à la démonstration de l’idéalisme ?......Page 502
II. 1. Un appel à l’expérience, ou une inférence par « supposition nécessaire » (arthāpatti) ?......Page 505
II. 2. Le paradoxe de l’idéalisme : le problème de la conscience de l’identité de l’objet et du sujet......Page 506
II. 3. L’analyse du désir (icchā)......Page 509
II. 4. Si l’expérience de l’intériorité doit être inférée, l’intériorité est-elle un objet d’inférence ou un objet d’expérience ?......Page 518
III. 1. La prise de conscience (vimarśa), essence de la manifestation consciente (prakāśa) (ĪPK I, 5, 11)......Page 520
III. 1. 1. Ce que n’est pas l’essence de la manifestation consciente......Page 521
III. 1. 2. Ce qu’est l’essence de la manifestation consciente : la prise de conscience, liberté (svātantrya) et félicité (ānanda)......Page 527
III. 2. 1. Gloutonnerie, gourmandise, plaisir esthétique, félicité suprême......Page 533
III. 2. 2. L’objection de la douleur......Page 541
III. 2. 3. L’analyse du processus de la prise de conscience de l’objet : la passivité du sujet percevant n’est qu’un état intermédiaire......Page 545
III. 3. L’être-agent (kartrtva) de la conscience ou la liberté de se faire Autre (ĪPK I, 5, 15)......Page 550
III. 3. 1. La prise de conscience (vimarśa), point de convergence entre pouvoir de connaissance et pouvoir d’action......Page 553
III. 3. 2. Le sujet se fait objet : les pouvoirs de connaissance et d’action comme transformation de soi par soi......Page 555
III. 3. 3. Le sujet n’est pas objet : la liberté, transformation ludique du Soi en l’Autre......Page 560
III. 3. 4. L’argument de l’intentionnalité de la conscience : la liberté comme fondement de l’identité et de l’altérité......Page 564
IV. 1. 1. La sclérose de la différence – ou le Soi pris pour l’Autre......Page 568
IV. 1. 2. La sclérose de l’identité – ou l’Autre pris pour le Soi......Page 571
IV. 2. 1. Comment l’aliénation est-elle possible ?......Page 576
IV. 2. 2. La liberté, cause de l’aliénation – ou l’aliénation comme jeu (krīḍā )......Page 579
IV. 2. 3. La liberté, moyen de l’aliénation – ou l’aliénation comme réalisation de l’impossible......Page 587
IV. 3. L’aliénation est-elle une question ?......Page 594
I. 1. Le corollaire de la mise en évidence des pouvoirs du Seigneur : celle de l’impuissance de l’individu......Page 596
I. 1. 1. Le sujet empirique n’agit pas : le potier, c’est Śiva......Page 597
I. 1. 2. Le sujet empirique ne connaît pas et n’imagine pas : c’est la conscience absolue qui connaît et imagine en lui......Page 604
I. 2. La négation de la réalité d’autrui......Page 608
II. 1. L’impossibilité de la conscience de l’existence d’autrui dans le Vijñānavāda : le problème de la réification de l’Autre......Page 611
II. 2. La riposte du Vijñānavāda : l’altérité est connue par inférence......Page 615
II. 3. La critique de l’inférence d’autrui par le sautrāntika : l’impossibilité d’établir une relation causale......Page 618
II. 4. L’impossibilité de l’intersubjectivité dans la perspective du Vijñānavāda......Page 625
II. 5. La critique de la tentative même du Vijñānavāda pour établirl’existence d’autrui : la contradiction avec le principe de l’idéalisme......Page 629
III. 1. Ce que la théorie du Vijñānavāda et celle de la Pratyabhijñā ont en commun......Page 631
III. 2. Une différence essentielle : la conception du rapport entre connaissance et action......Page 633
III. 3. La conscience de l’existence d’autrui : perception, inférence, intuition devinante, reconnaissance......Page 642
III. 4. La reconnaissance d’autrui comme reconnaissance partielle du Soi......Page 651
III. 5. L’intersubjectivité selon la Pratyabhijñā......Page 654
IV. Conclusion : altérité (paratva) et compassion (krpā) dans la Pratyabhijñā......Page 658
Chapitre 9 Le statut ontologique de la différence dans la Pratyabhijñā......Page 668
I. 1. L’illusion intra-mondaine – contradiction (bādha) et manifestation incomplète (apūrṇakhyāti)......Page 669
I. 2. L’illusion intra-mondaine, illusion dans l’illusion : le saṃsāra comme rêve (svapna)......Page 675
II. 1. L’absence de contradiction (virodha) entre la conscience de la différence et celle de l’identité : la notion de fond (bhitti)......Page 681
II. 2. Les ciseaux de la māyā, ou l’appréhension exclusive de la différence......Page 687
III. En quoi la conscience de l’identité aussi est illusion : la critique de l’ontologie de l’Advaita Vedānta......Page 693
III. 1. La critique de la conception de la différence comme illusion inexplicable (anirvacanīya) dans l’Advaita Vedānta......Page 694
III. 2. Le désir d’agir (cikīrṣā) ou la différence (bheda) appréhendée dans sa non-différence (abheda) d’avec la conscience......Page 705
IV. 1. L’ambiguïté du concept d’identité : être-soi (ātmatā) et non-différence (abheda)......Page 707
IV. 2. Une ontologie de l’acte......Page 708
IV. 3. La différence comme déploiement de l’identité......Page 719
IV. 4. La différence comme voie (upāya )......Page 732
I. Du fondement de l’identité, de l’altérité et de la différence dans la Pratyabhijñā......Page 738
II. Des rôles de la raison et de l’expérience dans la Pratyabhijñā......Page 749
Bibliographie......Page 766
Index Général......Page 784
Index Locorum......Page 803
Index des Īśvarapratyabhijñākārikā et des passages de leurs commentaires cités dans cette étude......Page 806